SANTA MARIA di LEUCA
LEUCA c’est la fin de la terre, c’est une basilique, un
acqueduc, les escaliers de Mussolini… c’est un bout du monde, la fin d’un
continent, «finibus de terrae « , une station balnéaire
aristocratique « fin de siècle »… c’est tout cela sans que personne
n’y comprenne rien. Pour notre passage c’est aussi le plus haut phare maritime
d’Italie et un port rouleur avec un infernal ressac qui ne permet pas le repos,
ni celui du corps, ni celui de l’âme.
Alors oui, nous avons grimpé les 184 marches, avons visité
l’esplanade qui domine la mer, la basilic mais rien au sujet de cet
« acquedutto » qui est le plus grand d’Europe (240 km) et qui, en fin
de parcours, embellissait la ville d’une jolie cascade. En bref nous n’avons
rien compris à cette histoire Pouilleuse, Christine a acheté deux petits livres
en Italien qu’elle offrira à Odette pour une franche explication.
Alain et Christine.
Salut les marins !
RépondreSupprimerVous n'avez pas subi les vents de sable qui souffle actuellement entre la Grèce et l'Italie ?
La frangine s'est bien amarinée ? ;-)
Stef, marin à terre
à propos de la région des Pouilles ... on peut aller sur :
RépondreSupprimerhttp://www.pouilles.ch/index.php/category/santa-maria-di-leuca
un joli site fait par un Suisse( .ch)... originaire ou de passage.
Alain m'a téléphoné ils ont réussi à traverser le golfe de Tarente.
Michel
Eh bien, le petit suisse!!! je sais qu'il n'y a ni basilic ni basilique chez toi mais quand même.......
RépondreSupprimerDans le Sud...e peuchère on écrit basilique comme on veut, ça dépend s'il est au féminin ou au masculin, té !
SupprimerEt en plus des fois, on y met des "s" ..... !
M. de Marseille